Cette
étude nous a permis de constater que le commerce de l'être humain
est un phénomène qui a toujours existé dans le monde et qui est
encore très actuel de nos jours. L'humain fait l'objet d'un réel
commerce alimenté par toutes sortes de trafics. De
plus, nous avons pu voir que celui-ci comporte des difficultés diverses,
non pas seulement sociales et éthiques mais également économiques
et politiques. Nous avons pu comprendre son fonctionnement, comment
il s'organise dans le monde et comment il est géré et régulé par
différentes législations.
Aujourd'hui encore, les êtres humains sont soumis au marché. En effet leurs existences et leurs corps sont une marchandise monnayable. Les trafics se sont aujourd'hui diversifiés : prostitution, esclavagisme, trafic d'organes ou de clandestins... On assiste à une véritable marchandisation de la société : tout s'achète et se revend. Nous avons ensuite vu sa répartition géographique et compris comment s'organisent les flux migratoires clandestins dans le monde avec des conditions de transports souvent déplorables. Nous nous sommes intéressées aux pays de départs et d'arrivés et ce qui poussait les personnes à migrer : des conditions de vie difficiles, une économie stagnante, une situation politique instable du pays ou encore l'insécurité dans les pays en guerre. Nous avons ensuite vu comment et de quelle manière il était possible de contrôler ce marché que cela se fasse par des lois ou par l'intervention d'ONG. Ce travail a démontré que ce trafic est toléré dans différents pays, en particulier dans des pays européens. On a en effet souligné que chacun avait sa manière de gérer et de réguler ce business passant par une économie souterraine.
Les victimes de ce commerce ne s'arrêtent pas aux personnes adultes fuyant des problèmes de société, mais touchent aussi des personnes plus vulnérables tels que les handicapés, les personnes âgées mais surtout les enfants. La prostitution infantile, la mendicité forcé, l'esclavage, la vente d'enfants font partie des activités principales du commerce de l'être humain. Il serait donc opportun de se demander comment se développe et se caractérise la traite de l'enfant dans le monde.
Aujourd'hui encore, les êtres humains sont soumis au marché. En effet leurs existences et leurs corps sont une marchandise monnayable. Les trafics se sont aujourd'hui diversifiés : prostitution, esclavagisme, trafic d'organes ou de clandestins... On assiste à une véritable marchandisation de la société : tout s'achète et se revend. Nous avons ensuite vu sa répartition géographique et compris comment s'organisent les flux migratoires clandestins dans le monde avec des conditions de transports souvent déplorables. Nous nous sommes intéressées aux pays de départs et d'arrivés et ce qui poussait les personnes à migrer : des conditions de vie difficiles, une économie stagnante, une situation politique instable du pays ou encore l'insécurité dans les pays en guerre. Nous avons ensuite vu comment et de quelle manière il était possible de contrôler ce marché que cela se fasse par des lois ou par l'intervention d'ONG. Ce travail a démontré que ce trafic est toléré dans différents pays, en particulier dans des pays européens. On a en effet souligné que chacun avait sa manière de gérer et de réguler ce business passant par une économie souterraine.
Les victimes de ce commerce ne s'arrêtent pas aux personnes adultes fuyant des problèmes de société, mais touchent aussi des personnes plus vulnérables tels que les handicapés, les personnes âgées mais surtout les enfants. La prostitution infantile, la mendicité forcé, l'esclavage, la vente d'enfants font partie des activités principales du commerce de l'être humain. Il serait donc opportun de se demander comment se développe et se caractérise la traite de l'enfant dans le monde.
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- Angéline, Clémence et Emma
- Angéline, Clémence et Emma